Apparu brièvement comme suggestion d'achat (suite aux multiples piratages de mes ordinateurs et téléphones j'achete beaucoup de livres - pas toujours interessants ni précis - sur la sécurité informatique et une fois de plus l'algorithme d'Amazon ne s'est pas trompé dans ses recommandations "les gens qui achetent tel ou tel livre commandé par vous achetent aussi celui la")

J'ai donc commandé le livre "missions, methodes, techniques speciales des services secrets au XXIeme siecle", ecrit par le "Lieutenant-Colonel X avec Jacques Léger" sous titré "contre espionnage, sécurité interieure, manipulations, guerre de l'information"  et publié aux editions "Regard sur le monde" 

Je ne m'etalerai pas sur la couverture (au graphisme digne de l'opus auto-édité d'un gourou ufologue) ni sur la typo (trop dense à mon goût mais au moins on en a pour son argent, les 274 pages du livre ayant pu facilement se decliner en 700  chez Seuil ou Plon) ni sur les quelques coquilles qui restent dans le texte (dommage, mais rien de grave).

Conseillé à quelques amis, ceux ci n'arrivent pas à se le procurer en librairie, l'editeur se plaignant par ailleurs que personne ne veuille distribuer son livre, (ISBN 9781482745511) qui a pourtant passé les 10.000 exemplaires vendus (sur Amazon uniquement) et dont il vient de faire un retirage de 3000, la demande etant constante. Le livre (dont aucun journaliste n'a voulu effectuer de recension) est d'ailleurs vendu à prix d'or sur le marché de l'occasion (brave indice d'un sujet porteur quand c'est un livre toujours édité). Le style est sobre, factuel (ne vous attendez pas à y trouver un quelconque genie langagier), pour tout le reste, c'est de la bombe...

Voici un mois que j'ai acquis ce livre, et il resume (très) exactement ce que je tentais d'ecrire depuis un bout de temps et que lecteurs bêta et psychiatres (oui, les psy sont les nouveaux confidents, un chapitre entier leur est d'ailleurs consacré, à eux et aux avocats) m'affirmaient etre pure paranoia de ma part (et dieu sait si c'est dangereux d'etre accusée de paranoia par un psychiatre) en ce moment je cumule, etant déclarée, par l'hopital de Bayonne qui a tenté une SPRE non approuvée par le psychiatre de garde le 21 octobre 2018 - mais les dossiers administratifs parlent d'une hospitalisation allant du 19 (où je n'etais pas en France) au 20, jour où je n'ai jamais mis les pieds à l'hopital, bref, pour terminer ma parenthèse voici qu'a 52 ans je persiste à écrire (et comme une c... Je montre ce que j'ecris à une psychiatre, voire à la terre entière puisque j'avais commencé une rédaction sur WhattsApp, qui m'avait déjà déplacé mon manuscrit dans la categorie "adulte, accessible par mot de passe uniquement" puis a fini par fermer mon compte purement et simplement et sans justification aucune, alors que mon texte ne contenait ni grossiéreté ni scenes explicites, qui sont pourtant legions dans les fictions publiees par la plate forme...

Heureusement que j'avais fait des sauvegardes precises de mon récit - non achevé mais depuis la lecture du Lieutenant Colonel X envoyé à plein de gens, avec d'autres textes - car sinon j'aurai fini par croire que j'avais rêvé avoir ecrit quelque chose, ce qui ne serait guere etonnant vu toutes les pathologies qu'on m'a trouvé aux urgences (sans même me voir, d'ailleurs, puisque mon hospitalisation est sensé avoir eu lieu 24h avant que je mette les pieds dans cet hopital de malheur).

Je reviendrais sur le sujet de l'hôpital ensuite, des demarches étant en cours (ça ne fait jamais que 8 mois que moi et mon medecin nous voyons interdire l'accès à mon dossier medical, plus c'est long plus c'est bon, paraît-il), disons, pour resumer brièvement que revenant vers 21h 30 d'un repas avec Mex et sa nouvelle ex copine, je fus frappée en haut de la 1ere volée d'escaliers par un homme que je n'avais jamais vu et qu'ayant dégringolé tout un etage bien raide je fus trouvée evanouie par un voisin (sacré chance, plein de gens meurent dans ces escaliers du petit Bayonne, ce qui est classé comme "accident domestique" - merveille de la langue de bois administrative, mais pas moi, il faut croire que finalement j'ai la barraka) et après avoir passé quelques coups de fils sans succès et envoyé quelques mails racontant la chose, un ami fidèle m'a amené aux urgences, peu apres minuit (donc le 21) où tout en me refusant jusqu'à une poche de glace et un coup de betadine sur mes plaies, et en me gardant enfermée dans une salle de soin désaffectée servant de local à poubelle, "on" a reussi à me diagnostiquer à la fois une schyzophrenie, un trouble bipolaire, une paranoia delirante ainsi qu'un alcoolisme chronique tres avancé necessitant une mesure d'internement sous contrainte immédiate (alors que ne comprenant absolument pas ce qui se passait j'attendais tranquillement sur mon brancard dans un local à poubelles sans me douter de ce qui se jouait, et esperant qu'on m'amene enfin au plateau d'urgences) mesure avec laquelle ne fut pas d'accord l'equipe psychiatrique de garde (vue apres 14h de refus de soin) qui furent les seules personnes humaines rencontrées lors de cette horrible nuit du 21 et réussirent meme l'exploit de me faire obtenir le droit d'avoir un doliprane - avec une fracture du coccyx et un genoux luxé je souffrais le martyre, mais bien qu'on (je parle du docteur  Dupreuilh et de ses sbires aboyants, dignes remplacants du docteur Bonnemaison, celui qui ne faisait "qu'abreger des existences inutiles" en pariant un gateau qu'untel ou unetelle, amené valide pour des soins, mourrait avant l'heure du repas) bien qu'on m'ai signifié plusieurs fois qu'à l'hopital de Bayonne je n'avais aucun droit (meme pas celui de sortir en signant une décharge, et encore moins celui d'avoir des soins liés à mes blessures) et qu'on m'ait gavée de médicaments (présentés sans emballage et dont on refusait de me dire le nom) dont j'ai recraché et photographié la plupart puisqu'on ne cessait de me hurler "ici vous n'avez aucun droit, vous prenez ce qu'on vous donne sinon ce sera par la force" j'ai quand meme trouvé un peu d'humanité chez les acteurs du service psychiatrique qui ont reussi à me faire sortir de ce lieu de maltraitance absolue.

Bref, toutes mes confuses, cher lecteur, reprenons notre recension, tout ça pour dire que differentes choses s'etant passé dernièrement dans ma vie ont soudainement pris un nouvel eclairage, à la lecture de ce livre, et que, aussi bien l'intrusion dans ma vie de "coco qui aime la coke" que l'histoire de l'hôpital semblent tout à coup faire sens, et vont tous directement dans la même direction "courage, fuyons" (pour conclure l'apparté disons que mon futur bouquin parle principalement de Benjamin Ball et de Gregory Pasqueille - alias Gregory Batheux, alias Greg le Résistant, alias Anonymous France et francophone, alias le CM des veilleurs et aussi garde rapprochée de Marine Le Pen - ainsi que de quelques autres rencontrés de maniere recurrente un peu partout et sous differents noms, depuis 2002.

Tag(s) : #démocratie, #écriture, #vie privée
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