Me voici donc rentrée de la campagne, qui est belle et rousse sous la pluie... et même sous le soleil, parce qu'on en a eu aussi...
Finies, les soirées au coin du feu ! Nous rentrons vers la triste grisaille basque, avec un temps qui fera peut-être rêver les eskimaux, mais qui moi me transit, des pluies et de la grêle tous les jours et les goutières qui gargouillent à gros sanglots le long des rues du Petit Bayonne.
Demain a lieu, à l'Atalante, la prochaîne réunion des bloggueurs. J'espère que quelques chalands viendront se joindre à nous, gossiper sur la technocratie de la Côte Basque.
En tout cas, depuis quelques jours que je suis rentrée (mais je n'ai vraiment effectué ma rentrée qu'aujourd'hui), j'ai pris le temps de corriger mon manuscrit, qui m'a l'air tout à fait présentable un fois imprimé (il faut encore payer la reliure... aie aie aie, la fin du mois...) et le présenter à un éditeur... Youhou, y'a-t-il un éditeur de roman dans la salle ? J'en suis plutôt contente, mais comme je suis toujours ravie de mon dernier bébé, je méfie de mes enthousiasme. On verra ce que diront les maisons d'édition que j'ai projetté de contacter.
Un ami, qui l'a "suivi" dans sa génèse (je parle du roman) m'a dit que le style faisait pourtant plus penser à la nouvelle. C'est un peu normal, vu que jusqu'à prèsent, je n'ai écrit que des nouvelles, et que je chéris ce style...
Interruption de la rédaction de l'article. La suite plus tard.